Céleste vivait chez sa grand-mère, avec cinq autres vieux chats tous plus miteux les uns que les autres. Pour échapper à ces affreuses bestioles, Céleste se réfugiait toujours tout en haut, dans le grenier, là où son défunt grand-père rangeait ses vieux livres d'aventures et de poésie. Il ne comprenait pas tout, serte, mais les connaissait sur le bout des doigts. Il n'affectionnait pas particulièrement l'idée de sortir dehors, il préférait rester seul. Même à l'école Céleste n'avait pas d'amis. A dire vrai, cela n'était en rien de sa faute. Les autres enfants ne l'aimait pas c'est tout. Surement trop cultivé pour eux. Petit à petit, Il se renfermait de plus en plus. Il ne parlait à personnes, et restait plongé continuellement dans ses livres d'images. La timidité l'avait gagné. Jusqu'au jour où sa mamie, pour son anniversaire, décida de lui offrir la bicyclette de son enfance. Plus très luisante, mais toujours aussi rapide. Céleste était aux anges. Il sorti du salon et traversa l'allée en friches. Dès les premiers grincement de roues, son coeur criait Ô réjouissance. Ses yeux brillaient et ses jambes ne cessaient de trembler. Et voilà qu'il s'élançait en pleine rue. Il pédalait de plus en plus vite. Le vent s'engouffrait dans ses cheveux. Il riait, riait même très fort. Sa vie était bouleversée. A présent, il était décidé à voir le monde de ses propres yeux et d'en faire le tour jusqu'à l'épuisement. Céleste vivait chez sa grand-mère, avec cinq autres vieux chats tous plus miteux les uns que les autres. Pour échapper à ces affreuses bestioles, Céleste se réfugiait toujours tout en haut, dans le grenier, là où son défunt grand-père rangeait ses vieux livres d'aventures et de poésie. Il ne comprenait pas tout, serte, mais les connaissait sur le bout des doigts. Il n'affectionnait pas particulièrement l'idée de sortir dehors, il préférait rester seul. Même à l'école Céleste n'avait pas d'amis. A dire vrai, cela n'était en rien de sa faute. Les autres enfants ne l'aimait pas c'est tout. Surement trop cultivé pour eux. Petit à petit, Il se renfermait de plus en plus. Il ne parlait à personnes, et restait plongé continuellement dans ses livres d'images. La timidité l'avait gagné. Jusqu'au jour où sa mamie, pour son anniversaire, décida de lui offrir la bicyclette de son enfance. Plus très luisante, mais toujours aussi rapide. Céleste était aux anges. Il sorti du salon et traversa l'allée en friches. Dès les premiers grincement de roues, son coeur criait Ô réjouissance. Ses yeux brillaient et ses jambes ne cessaient de trembler. Et voilà qu'il s'élançait en pleine rue. Il pédalait de plus en plus vite. Le vent s'engouffrait dans ses cheveux. Il riait, riait même très fort. Sa vie était bouleversée. A présent, il était décidé à voir le monde de ses propres yeux et d'en faire le tour jusqu'à l'épuisement.comento
Par Evanouchette le Mardi 26 octobre 2010 à 22:14
C'est tout simplement magnifique! Il n'y a aucun mot qui peut qualifier ce que tu as dessiné et ce que tu as écrit. Tu as l'âme d'une poète! il y aura-t-il une suite?
Par le Mercredi 27 octobre 2010 à 11:36
Les yeux brillants je reste devant ce superbe article illustré *_*
Par le Dimanche 31 octobre 2010 à 18:53
Le texte est léger, une plume de poésie très agréable à lire. Et l'image ben... Comme d'habitude, j'adore.
Par le Mercredi 27 juillet 2016 à 10:52
C'est fou ce que le temps passe vite!
Par le Dimanche 9 octobre 2016 à 10:08
Et elle ressemble un peu à ça.
てごたえ tegotae
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